Bonjour tout le monde...
Ceux qui choisissent un appartement et qui ont une voiture, le font souvent en se basant sur les places de parc disponibles aux alentours...
Que faire quand on habite depuis des décennies dans un quartier où tout va bien et que soudainement des politicards décident de supprimer toutes les places de parc de ces quartiers au profit du 2 roues ?!
- Citation :
- Il n’existe pas de droit à des places de parc !
La justice roule pour le vélo
Riverains et commerçants zurichois tentent de s’opposer aux suppressions des places en zone bleue pour laisser la place à des pistes cyclables. Avec, à chaque fois, des défaites au tribunal.
Dans le quartier de Höngg, à Zurich, 219 des 253 places en zone bleue doivent disparaître pour des aménagements cyclistes. Oppositions: 350.
Dans celui de Werd, 104 des 136 places doivent être supprimées pour rendre les rues plus vertes. Oppositions: 432.
Et pourtant, comme le relève le «Tages Anzeiger», ces opposants n’ont à peu près aucune chance.
Dans de précédents cas de suppressions de places de parc, les oppositions ont à chaque fois été rejetées par les tribunaux. L’argument est souvent le même: «En principe, il n'existe aucun droit au maintien de places de stationnement publiques», est-il écrit dans un jugement. En clair: le maintien ou la suppression des places de parc sont prévus par les plans directeurs des communes. Qui sont votés par leur Législatif. Par des gens élus par le peuple.
Nous ne sommes pas sadiques
Certains automobilistes, commerçants et élus ne veulent toutefois pas laisser tomber. «Les tribunaux doivent continuer à examiner la question de savoir si la solution choisie est proportionnée», note le conseiller communal PLR Andreas Egli. Car, selon lui, il est possible d’aménager des espaces verts ou cyclistes sans sabrer autant dans l’offre de places de stationnement.
La Ville conteste. Elle ne supprime pas par réflexe les places de parc ou par pur sadisme: s’il y a la place, elle les laisse. Mais il faut des voies cyclables assez larges pour que les vélos se croisent sans danger et pour qu’ils ne soient pas menacés par les portières de voitures garées qui s’ouvrent. Si tel est le cas, adieu les voitures.
Je me demande bien quels arguments sont utilisés pour justifier ces suppressions de place de parc ?
Il n'y a pas que les centres villes qui compte et la plupart des grandes entreprises, vu les coûts, sont obligées d'aller s'installer en dehors des villes, dans des endroits éloignés et non desservis par les transports publics.
Pour ma part, même si je suis à 2h de chez moi, dès que je rentre dans ma voiture, je suis chez moi !
Faire des heures de transport public, devoir surveiller ses affaires, ne pas pouvoir être tranquille, le bruit, les odeurs, les gens qui parlent au téléphone, etc...
Bref, je trouve dégueulasse de priver les gens de cette liberté ! En plus il n'y a aucune légitimité à ces actions, car les 2 roues ont toujours fait partie du paysage sans qu'il ne soit nécessaire de faire de tels aménagements.
À Lausanne, la ville est défigurée avec des aménagements bidons, dégueulasses, dangereux et inutiles !
Maintenant les autos se parquent à 2 mètres du trottoir, et quand on sort de la voiture, on ne doit plus seulement faire attention à gauche, mais aussi à droite, où les conducteurs de 2 roues font comme ils veulent.
Tout ça pour une mobilité douce, non polluante, mais dont on ne voit personne s'en servir dès qu'il fait froid ou qu'il pleut.
Et que dire des dépenses ? Tout ce fric jeté dans ces projets imaginés par des gens qui ne vivent dans les centres ville et qui pensent que tout doit être pensé pour eux ?!
Donc des gens qui déménagent ailleurs, des gens qui se séparent de leurs automobiles, des taxes en moins, de l'argent dépensé en moins,
qui va payer l'entretien des routes ?Est-ce que les simples piétons se sont posés la question des sommes prélevées dans les caisses publiques pour ces aménagements ?
L'automobile est une outil de liberté qui fait vivre énormément de gens.
Si le problème est la pollution qu'elle produit, les automobiles non polluantes ne semblent pas être attendues puisqu'on supprime les aménagements avant qu'elles ne se démocratisent.
La politique et ces illogismes...